Revêtements à base de zinc lamellaire :
pourquoi sont-ils dignes d’intérêt ?

En débutant la rédaction de cet article, nous nous sommes d’abord posé la question suivante : mais comment les définir exactement ? Comme un matériau composite ? Possible puisque le dictionnaire qualifie comme tel quelque chose « qui est formé d’éléments divers et peu homogènes ». Comme un revêtement de galvanisation à froid, ou disons « plus tiède » ? Là non, ça n’est pas réaliste puisque les procédés commercialisés sous cette appellation sont en fait des peintures riches en particules de zinc. Puis ici, « froid » sous-entend sans cuisson après application ce qui n’est pas toujours vrai, loin de là. Alors peut-être, effectivement, comme des peintures riches en zinc ? Allez, oui, faisons cela. Via une approche initiale normative, orientons-nous vers des peintures riches en zinc pour tenter de mieux les cerner. Nous adapterons et compléterons notre approche au fil de l’eau.

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